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Home » Au cœur de la digestion » Cancer colorectal : seuls ¼ des Bruxellois et Wallons se font dépister
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Le cancer colorectal est un adversaire silencieux. Chaque année, entre 8 et 9.000 personnes en Belgique en reçoivent le diagnostic, en faisant le 2ème cancer le plus fréquent chez les femmes et le 3ème chez les hommes. Or, détecté précocement, 9 cas sur 10 peuvent être guéris. Mais seuls 25% des Belges concernés en Wallonie et à Bruxelles prennent le temps d’effectuer ce dépistage. 

Face à ce constat et dans le cadre de sa mission de prévention, Partenamut mène différentes actions afin d’encourager ses membres à se faire dépister. Un geste simple, rapide, indolore et réalisable de chez soi, contrairement aux idées reçues qui confondent “colotest” et “coloscopie”.

Mieux informer pour mieux dépister 

En principe, une fois 50 ans, les Belges reçoivent un courrier les invitant à se soumettre au dépistage. De nombreuses personnes passent à côté de l’importance de ce courrier… Et malheureusement, aucune relance n’est prévue alors que l’expérience montre que, dans d’autres pays, des rappels réguliers augmentent considérablement le taux de participation. En Wallonie, en collaboration avec le Centre de Coordination et de Référence pour le dépistage des cancers (CCReF), Partenamut a décidé d’envoyer un courrier de rappel à tous ses membres concernés.

Sensibiliser autrement 

La mutualité a également développé un site d’information dédié et déployé une campagne de sensibilisation grâce à une activation inédite permettant d’entamer la conversation, avec humour : un “QR code” imprimé sur des rouleaux de papier toilette, invitant à se renseigner et à passer à l’action. 

Prévention 

« Face à un cancer qui peut être traité efficacement, parler du dépistage, c’est déjà un premier pas vers la prévention », conclut Gladys Villey, Directrice du Département care & social de Partenamut. « Cette campagne s’inscrit pleinement dans notre rôle de compagnon de la santé de nos membres, tout au long de leur vie. Notre objectif est d’encourager le dialogue autour du cancer colorectal, aussi bien auprès des personnes de plus de 50 ans que de leurs proches. »

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