Battons en brèche les fake news sur le CBD ! Non, le cannabidiol n’est pas une drogue ! Oui, il procure des bienfaits à notre organisme… preuves scientifiques à l’appui !
« Le CBD ne crée pas de dépendance, n’est pas nocif pour la santé et possède une grande variété de propriétés thérapeutiques. » Cette affirmation ne sort pas du chapeau d’une boîte de com’ mais bien d’un rapport de 2017 du très sérieux Comité d’experts en pharmacodépendance de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).
Le CBD ne crée pas de dépendance, n’est pas nocif pour la santé et possède une grande variété de propriétés thérapeutiques.
« Ce cannabinoïde issu du cannabis possède des vertus potentielles pour le traitement de l’épilepsie et d’autres maladies », poursuivent les experts. En outre, « le produit pas d’effets psychoactifs ou cardiovasculaires significatifs, ne produit pas de conséquences négatives, même en cas d’abus, et ne provoque pas d’alarme sociale. » Bref, ne confondez pas le CBD avec le THC qui, lui, produit bel et bien des effets psychotropes.
Avantages thérapeutiques
À en croire ce rapport mais également d’autres études publiées depuis 2017, les avantages thérapeutiques du CBD sont vraiment très nombreux. Chez pas mal de personnes, il réduit l’inflammation, freine l’ostéoporose, équilibre le système immunitaire, diminue le stress, l’anxiété et la dépression, lutte contre divers troubles neurologiques, traite les symptômes péri- et post-ménopausiques, etc. Une nuance toutefois : vu la nouveauté du produit, on ne dispose pas encore de suffisamment de documentations et d’études précises pour déterminer les doses exactes procurant les effets précités.
Pour l’heure, on ne s’étonnera pas que depuis quelques années, les gélules, huiles, crèmes, atomiseurs, fleurs et autres produits à base de CBD rencontrent un véritable engouement. Depuis trois ans, les fleurs de CBD sont par exemple en vente libre dans les commerces belges. Globalement, assurez-vous toutefois de disposer de produits fiables ayant fait l’objet d’analyses en laboratoire. Il suffit de lire les étiquettes : c’est mentionné dessus !
Rapport de l’OMS 2017.